Le sourire de la mogette

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Mercredi, octobre 14 2009

Les Epesses, son Eglise et sa chapelle..

Les Epesses, l'Eglise Notre Dame


L'église dans sa forme actuelle est proche de celle du XVè siècle. Les voûtes sont de style angevin, dit "Plantagenêt". Les vitraux du côté droit se veulent une réplique de l'art roman, tandis que ceux du côté gauche de style gothique flamboyant sont de même époque que les voûtes. Le chœur et le portail, plus récents, sont construits par René II du Puy du Fou dans la première moitié du XVIIè siècle. La voûte en berceau du chœur est ornée de caissons de granit. Les différentes clefs de voûte de l'église sont frappées aux armes des seigneurs du Puy du Fou : les trois macles d'argent – losanges - , parfois accompagnées des armes des alliances successives.
La crypte en forme de croix latine, longue de 21 mètres, est accessible par des portes dissimulées dans les boiserie du chœur. Voûtée aussi en caisson, elle est l'enfeu de la famille seigneuriale du Puy du Fou. Les tombes ont été profanées à la Révolution. L'un des squelettes, remarquable par sa longue barbe, reste, jusqu'à la restauration des Bourbons, assis au fond d'un caveau, suscitant l'émotion des curieux. La crypte n'est plus accessible momentanément.
Le nouveau seigneur du Puy du Fou, Claude de Boislève, fait construire le retable où les formes ovales et l'envol de personnages sur ciel d'azur annoncent le goût du XVIIIè siècle. Le grand médaillon représente l'Adoration des Bergers, tandis que le plus petit figure l'Assomption de la Vierge. Au dessus des statues de Saint Pierre et de Saint Paul trônent les effigies des généreux donateurs.

                                                  Les Epesses  la Chapelle St Jean

Cette petite construction rectangulaire à nef unique de trois travées, couverte de voûte d'ogives, date du milieu du XVè siècle. Edifiée dans le premier cimetière près de l'église paroissiale, elle porte au dessus de l'entrée un blason aux armes du Puy du Fou. Désaffectée, elle a servi de salle de théâtre, puis de cinéma, et même de foyer de jeunes. Lors de fouilles récentes, on y a trouvé des moules de cloches. Elle accueille désormais des expositions temporaires pendant la période estivale.

Mardi, octobre 13 2009

Comme un Moulin sans ailes.

Sur les hauteurs du Chaffaud, entre Chambretaud et les Herbiers, au delà du Mont des Allouettes, les vestiges de ce qui ressemble à un moulin, dominent le paysage,

Aujourd'hui, cet énorme édifice (avec son enclos), a plus des allures de Château d' Eau et sa position dominante, se prêterait for bien à une desserte de la région en eau potable.

Jouant à cache-cache, derrière les arbres, son imposante stature, attire le regard, à des lieues à la ronde...

La Sèvre Nantaise à Rochard.

Le site de Rochard, entre La Verrie et Mortagne, est un passage difficile pour la Sèvre Nantaise. 

Le cours d' eau se faufile difficilement entre les gros rochers, situés en arrière de la digue, avant le passage de la petite écluse, qui redonne à la Sèvre, son parcours originel.

Saint Mars La Réorthe, l' église Saint Médard

En contre-bas du Mont des Justices, à deux pas du coteau des Jarries, une paisible petite commune et son église, dédiée à Saint Médard...

La Chapelle Sainte Anne à Saint Laurent sur Sèvre

Cette petite chapelle, située à la croisée de deux chemins,dans la campagne Saint-Laurentaise, est dédiée à Sainte Anne.  Elle se trouve à mi-coteau, entre le bourg et l' Institution Saint Michel et surplombe la verdoyante campagne

Lundi, octobre 12 2009

René-Théophile Laennec, l' inventeur du Stéthoscope

René-Théophile-Marie-Hyacinthe Laennec, est né à Quimper le 17 février 1781 et décédé à Ploaré le  le 13 août 1826, à l' age de 45 ans..
Médecin, il a été l' inventeur du "pectoriloque", appelé aujourd'hui, le stéthoscope..

René Théophile, est fils et petit-fils d' avocats. Son grand père Michel Alexandre Lennec, fut également maire de Quimper, de 1763 à 1765..

Il parlait couramment le breton, qu' il employait dans ses correspondances avec son père, (prénommé lui aussi Théophile)..
À la mort de sa mère Michelle, en 1786, emportée par la tuberculose, son père, alors lieutenant au ministère de la marine à Quimper, étant incapable de s'occuper de lui, René Théophile est recueilli successivement chez un oncle recteur à Elliant, puis chez un autre : Guillaume François Laennec, médecin, professeur et directeur de l'école de médecine ainsi que recteur de l'université de Nantes...

Suivant l'exemple de ce dernier, Laennec entame des études de médecine, qui lui permettront d' étudier sous la direction de grands praticiens comme  Jean Nicolas Corvisart, à l' hopital de La Charité à Paris...  Reçu, Docteur en Médecine en 1804, il se spécialise alors dans les pathologies, liées aux lésions constatées lors des autopsie, en particulier la cirrhose du foie...
Il décède le 13 août 1826 à Ploaré dans son Manoir de Kerlouannec , à l'âge de 45 ans, emporté lui aussi par la tuberculose...

(voir sa généalogie)

Dimanche, octobre 11 2009

Puybelliard, sa petite église.

Ancienne commune vendéenne, Puybelliard est rattachée à Chantonnay depuis 1964..
Cette fusion incluait également la commune voisine de Saint Mars Des Prés

Le bourg de Puybelliard a su garder, pour le visiteur, un certain aspect médiéval et accueillant...
                                                          avec sa petite église,


                                       située à l' angle de la rue du Cheval Blanc,


                                           et ses petites ruelles étroites et sombres,


Toutes ces merveilles, nous rappelle le passé, pas si lointain, de la Vendée Bocagère.

Samedi, octobre 10 2009

La Grotte de Massabielle.

La dévotion à la Vierge est très ancrée dans le cœur des Vendéens, aussi, nous pouvons rencontrer de nombreuses répliques de la Grotte, où Marie  est apparue à Bernadette, comme ici, dans le quartier de Massabielle, aux Herbiers.

Chavagnes en Paillers et son Monument aux Morts.

A Chavagnes, le monument, érigé en souvenir des victimes  des différents conflits qui endeuillés le vingtième siècle, à fière allure, dans le cadre du "Jardin du Souvenir"...

Il répertorie, sur ses deux tableaux, tous les enfants de la commune, Morts pour la France, de la première Guerre Mondiale, au conflit d' Algérie, sans oublier la Guerre d' Indochine...

 

                   Tout ceci dans un magnifique cadre de verdure, en plein centre ville.

Perdu dans la Forêt de Grasla

Mais quel est donc cet animal, pétrifié, en pleine forêt ?
Est ce la peur du grand méchant loup, qui l' a mis dans un tel état, nous ne le saurons jamais...  En tous cas, il a l' air si heureux dans cette clairière !!!

                                                                                                 Profil gauche

                                                                                            Demi profil droit

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